Présentation de Matthieu Podevin, créateur du jeu Abycity
    Présentation de Matthieu Podevin, créateur du jeu Abycity

    Matthieu Podevin, auteur en concours « Trophée FLIP Créateurs 2017 », se présente au Coin Coin.

    Yohann : Pouvez-vous vous présentez succinctement ainsi que votre jeu ?

    Matthieu : Matthieu PODEVIN, créateur du jeu de société Abycity, en concours Trophée FLIP sur le Festival des Jeux de Parthenay 2017-Matthieu PODEVIN, marié, 3 enfants, 32 ans, je suis masseur-kinésithérapeute et j’habite en Meurthe et Moselle à Lupcourt près de Nancy. Je suis un passionné ludique depuis l’enfance et je me suis mis a créé des jeux à l’âge de 8 ans. Depuis une petite dizaine d’année je me plonge plus activement dans la création et essaye de manière “malheureusement” épisodique de présenter quelques prototypes en concours et festivals.

    Ce sera une grande première pour moi à Parthenay et c’est un immense plaisir de pouvoir venir avec ce proto en particulier.

    Y : Pourquoi avoir choisi le FLIP pour présenter votre prototype ?

    M : ABYCITY est un jeu que je développe depuis 2011 et qui a subi des changements radicaux depuis sa première présentation. Il est passé de simple jeu de cartes sous le nom d’Abysses à un jeu de plateau plus massif mais plus direct en termes de mécanisme.

    En tant que jeu de cartes, il avait concouru au CNJ en 2012 où il avait relativement plu mais pas tout à fait convaincu du fait de lourdeurs. Allégé il a failli être édité par IELLO. Puis une pause de 3 ans pour lui, suite à la sortie d’ABYSS et du projet en cours chez IELLO d’Antoine Bauza: Océanos. Présenté en off à Cannes en 2016, il a connu un nouveau succès et de belles rencontres éditoriales qui lui on amenait son profil jeu de plateau. Cette année il était retenu au Protolab à Cannes et a de nouveau dans sa nouvelle forme reçu un accueil chaleureux.

    Aujourd’hui le proto est en phase finale de développement et sera je l’espère bientôt signé. Je compte sur le FLIP pour lui apportait un allant supplémentaire pour finir de convaincre. Mais surtout cela me permet de continuer à rencontrer le public qui jusque-là à participer à ce projet avec énormément de plaisir.