Questions à Louise de Blackrock Games
    Questions à Louise de Blackrock Games

    Louise gère le stand Blackrock sur la place du Drapeau. C’est un stand multi-éditeurs très spécial et avec une super ambiance !

    Yohann : Louise, vous êtes combien sur votre stand ?

    Louise : Ça dépend des jours. Je suis présente toute la durée du festival. Certains éditeurs sont présents aussi toute la durée du festival comme Blue Orange, Le droit de perdre et une animatrice pour BLAM.

    Ensuite, certains autres éditeurs, ainsi que certains auteurs viennent sur différentes journées pour animer leurs jeux. Donc nous avons beaucoup de jeux en présentation mais les jeux changent régulièrement, alors n’hésitez pas à venir et revenir plusieurs jours de suite.

    Y : Tu as quoi comme nouveautés cette année ?

    L : Tu veux dire ce dernier mois ? Les jeux arrivés cette semaine sont : Baiam, l’extension de KingDomino (Age of Giants) , Peanut Club et j’en passe.

    Nous avons aussi des jeux qui sont finalisés et qui sortiront en septembre ou octobre, comme Fertility de chez CatchUp, Nemeton chez Blam ou Affinity chez Game Flow.

    Y : Pourquoi avoir fait un stand multi-éditeurs ?

    L : Parce que nous sommes distributeurs. Tous les éditeurs que nous distribuons sont les bienvenus sur notre espace, afin de le faire vivre. Et puis à Parthenay, l’ambiance est plus détendue que dans d’autres festivals car ce n’est pas que sur un week-end.

    Blue Orange, par exemple, a pris son propre espace cette année, mais juste à coté du nôtre.

    Y : Est-ce que tu as des tournois sur le stand?

    L : Oui tous les jours à 16h. Nous avons instauré ça l’année dernière. Les débuts ont été un peu difficiles mais les festivaliers s’y sont mis sans problème. C’est vraiment rigolo, car on retrouve même des festivaliers de l’année dernière qui reviennent tous les jours à 16h pour les tournois.

    Y : Est-ce que Blackrock a investi un lieu éphémère cette année ?

    L : Non pas cette année. Pour le moment, nous agrandissons encore l’espace et ça fait une double gestion ainsi qu’une séparation d’équipe.

    On verra l’année prochaine, si ça intéresse certains éditeurs ou si nous voulons créer une ambiance particulière. Pour le moment c’est plus sympa de vivre tout ça ensemble sur un même lieu.

    Merci pour tes réponses Louise    
    Yohann

    Coin-Coin n°7 – mardi 17 juillet 2018